Les trois coups de coeur de Gilles Bechet se jouent au Théâtre 140, Le Boson et théâtre de la Balsamine. Avanti!
FOCUS CURIOSUS
Les cabinets de curiosité nous ramènent à une époque où les merveilles de la nature et du monde suscitaient l’émerveillement et le frisson de l’inconnu. L’artiste et comédienne Isabelle Dumont, fascinée et émue par la nature, fait dialoguer arts et sciences et partage son gai savoir dans des conférences spectacles sur le règne végétal (Hortus Minor) minéral (Mineralia) ainsi que sur le petit théâtre du monde qu’incarnent ces objets rares précieux et insolites de la nature (Mirabilia). Dans le foyer du théâtre, elle installe sa chambre des merveilles comme autant d’appels aux vagabondages curieux.
Théâtre de la Balsamine, 13 > 29/11
LES DACTYLOS ET LE TIGRE
Paul et Sylvia, Ben et Gloria, un homme et une femme, des solitudes, des illusions qui se croisent. Deux courtes pièces de l’américain Murray Shisgal mises bout à bout dans un étrange jeu de miroir. Une chronique douce amère de la vie de bureau, un face-à-face tendu entre un ravisseur et sa proie. Julie Duroisin et Nicolas Luçon incarnent dans le trouble et la justesse ces personnages qui ne sont jamais ceux que l’on croit. Les émotions les sentiments peuvent déraper à tout moment. Un moment intense dans l’atmosphère intime d’un des plus petits théâtres de Bruxelles.
Murray Shisgal/Bruno Emsens, Le Boson, 11 > 29/10
© Adeline Keil
FREAK CABARET
Les six ukrainiennes maquillées comme des poupées tiennent un peu des sorcières. Dans leur chaudron, un concert-spectacle épicé qui puise autant dans la tradition du cabaret libertaire que dans les musiques traditionnelles des Carpates, le Punk et le rap. En ukrainien comme en anglais ou en français, elles visitent les sonnets de Shakespeare, les poèmes de Bukowsky comme de poètes ou chanteurs ukrainiens. Complètement borderline, elles ne sont pourtant pas là pour faire les gugusses mais pour canaliser leur colère, avec leur charme, leur ironie et leur énergie.
Dakh Daughters, Théâtre 140, 18-19
Les six ukrainiennes maquillées comme des poupées tiennent un peu des sorcières. Dans leur chaudron, un concert-spectacle épicé qui puise autant dans la tradition du cabaret libertaire que dans les musiques traditionnelles des Carpates, le Punk et le rap. En ukrainien comme en anglais ou en français, elles visitent les sonnets de Shakespeare, les poèmes de Bukowsky comme de poètes ou chanteurs ukrainiens. Complètement borderline, elles ne sont pourtant pas là pour faire les gugusses mais pour canaliser leur colère, avec leur charme, leur ironie et leur énergie.
Dakh Daughters, Théâtre 140, 18-19
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