Jeanne Susplugas nous invite à faire le tour de ses obsessions comme elle nous inviterait à faire le tour du propriétaire. Dans ses dessins avec vue sur le cerveau, il y a tout un bric-à-brac accroché à ses neurones comme à une pendule.
Jeanne Susplugas passe au microscope notre individualité fracturée
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Il ne faut toutefois pas se fier aux flacons dans la salle de bain pour trouver la formule du bonheur. En revanche, elle a peut-être trouvé le moyen de ramener les injonctions sociales du quotidien à des formules chimiques.
Maniant l’humour et la poésie, Susplugas passe au microscope notre individualité fracturée par une société des dépendances et du contrôle.
> Jeanne Susplugas: Living in my head. > 22/4, La Patinoire Royale
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