Setsuko ne jouit pas de la vie ici-bas. Elle atterrit dans un cours d’anglais donné par un coureur de jupons américain aux méthodes excentriques qui se moque pas mal des mœurs japonaises.
John coiffe Setsuko d’une perruque blonde et l’appelle Lucy. Cette identité et cette bouffée d’amour passagères font renaître en elle une lueur d’espoir. Pour son premier long-métrage, Atsuko Hirayanagi s’est inspirée d’un court-métrage primé, et ça se voit.
Malheureusement, l’alternance entre gravité légère et légèreté grave s’évapore peu à peu pour faire place à davantage de mélodrame.
Oh, Lucy! n’est pas mémorable mais assez original que pour briser la routine.
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