Des milliers de vélos seront bientôt dotés d'un "pinger". Ce petit appareil leur permettra de faire savoir quand ils ne se sentent pas en sécurité sur la route. A terme, ces données permettront de cartographier avec précision les situations dangereuses pour les cyclistes.
Le "pinger", qui ressemble à une sonnette de vélo, est connecté au smartphone du cycliste qui transfère les notifications. A terme, des milliers de vélos enverront leurs notifications à Bruxelles Mobilité. Avec cette action, la secrétaire d'état à la Securité Routière Bianca Debaets (CD&V) veut savoir quels sont les endroits critiques en matière de sécurité pour les cyclistes. Il ne s'agit pas uniquement d'incidents avec des cyclistes, mais aussi d'endroits où les cyclistes ne se sentent pas en sécurité.
Le premier panel de test utilisera la pinger à partir de mai. Dès juin, un deuxième groupe de cinq cents cyclistes les rejoindra, après d'éventuelles améliorations.
Debaets a libéré 123.500 euros pour ce projet.
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