Les critiques qui, en 1958, accusaient Vertigo d’invraisemblance n’avaient pas tout à fait tort. Mais ce film signé Hitchcock n’en démontre pas moins la capacité du cinéma à transcender la raison et immerger le spectateur dans un monde hypnotique et surréaliste.
Le générique de Saul Bass, la mise en scène, les mouvements de caméra, les décors et le jeu de James Stewart, souffrant de vertige et rongé par sa fascination pour Kim Novak, vous entraînent dans une chute effroyable. Le meilleur film de tous les temps.
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