Même sans avoir jamais mis les pieds en Iran, les amoureux du septième art entretiennent une relation privilégiée avec ce territoire du Moyen-Orient à travers son cinéma indépendant de qualité, acclamé dans les plus grands festivals.
Alors que depuis deux semaines, le pays est secoué par une puissante vague de protestations, le Cinéma Galeries consacre son festival L’Heure d’Hiver à sa capitale: Téhéran.
Au programme, les demi-dieux Jafar Panahi (Taxi Téhéran), passé maître suprême du cinéma clandestin, le très lucide conseiller conjugal de la société iranienne Asghar Farhadi (Une séparation), et le regretté poète Abbas Kiarostami (Le goût de la cerise).
Sans oublier les autres réalisateurs incontournables - et ils et elles sont nombreux(ses) – qui, malgré la censure et les contraintes économiques, ne se privent pas de poser leur regard pénétrant sur la société persane et ses paradoxes.
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