Après le documentaire sur les vampires What We Do in the Shadows et la production Marvel Thor : Ragnarok, le réalisateur néo-zélandais Taika Waiti s’aventure dans une « satire anti-haine ».
Un score de 8/10 sur IMDB et six nominations aux Oscars, y compris pour le meilleur film, et ce ne sont pas les seules raisons de se réjouir d'aller voir Jojo Rabbit. Le scénariste-réalisateur néo-zélandais Taika Waititi a conquis de nombreux fans avec le documenteur sur les vampires What We Do in the Shadows et la production Marvel Thor : Ragnarok. Il s'aventure ici dans une "satire anti-haine", présentée comme telle.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un enfant allemand fait de son mieux pour être un nazi exemplaire. Son ami imaginaire est un Adolf Hitler loufoque (Waititi lui-même). Sa foi nazie est mise à rude épreuve lorsqu'il découvre que sa mère (Scarlett Johansson, nominée aux Oscars) cache une jeune fille juive et que celle-ci se révèle être non pas un monstre mais une créature qui fait même battre son cœur.
Le sentimentalisme aurait été plus facile à avaler si on avait pu rire à plusieurs reprises avant, mais à part quelques joyeusetés dignes de la série Allô Allô et une photographie sublime, le simpliste et docile Jojo Rabbit n'a étonnamment pas grand-chose à offrir.
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