Après le décès de son mari, Inga doit éviter la faillite de leur ferme laitière. En mettant à nu les pratiques mafieuses et le monopole de la coopération locale, elle semble s’embourber davantage.
Il est assez facile d’avoir de la compassion pour l’Erin Brockovich islandaise.
Dommage qu’Hákonarson handicape son portrait de femme, pourtant plein d’espoir, en économisant sur l’humour et les émotions, avec un style parfois plus pauvre que sobre.
Pas complètement mauvais, mais certainement pas du lait entier.
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